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Stéphane BONAVENT

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Les passions nous permettent de vivre dans l'espoir d'une vivre de rêve. En fait, les passions sont le moteurs de la vie

Les passions nous permettent de vivre dans l'espoir d'une vivre de rêve. En fait, les passions sont le moteurs de la vie quotidienne et elles nous permettent de passer le temps dans la joie et le rêve.

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Stéphane BONAVENT

Trucage, c'est si facile

Trucage, oui, car c'est ma tête et pas celle de l'acteur.
Trucage, oui, car c'est ma tête et pas celle de l'acteur. 

Afin de rigoler, j'ai effectué un trucage d'une photo en y remplaçant la photo de l'acteur par ma propre photo. C'est amusant, c'est simple et le résultat est rigolo. Je ne cherche pas à avoir un résultat professionnel, d'aileurs, le trucage est bien visible, mais quand même, je me suis bien amusé à le faire.

Les outils de maintenant sont si performant que cela devient facile. Bien sur il existe des logiciels plus performant, mais moi, j'ai juste fais cela pour m'amuser. On peut en faire des choses avec un simple PC.

 

AMO, ZIS, ZIL and AMO-ZIL : La limousine russo-soviétique

Version actuelle de la limousine ZIL 4047 (7 places) Berline 40141 (5 places) Dimension de la Limousine Dimension de la bersline

Version actuelle de la limousine ZIL 4047 (7 places)
Version actuelle de la limousine ZIL 4047 (7 places) 

ЗНЛ     //     ZIL

 

Naissance d’un constructeur

 

 

 

La société AMO, « Avtomobilnoe Moskovskoe Obshchestvo » ou Société Moscovite d’Automobile, est créée en 1916.

 

Sa production est concentrée aux camionnettes et camions nécessaires aux fonctionnements de transports de matériels, de personnes et de marchandises, les premières en URSS.

 

 

En 1933, l’entreprise est rebaptisée Z.I.S. ,« Zavod Imeni Stalina » ou Plan industriel de Staline, afin d’honorer l’homme fort du Kremlin, un certain Joseph Staline.

 

 

En 1936, en plus de la construction de camionnettes, une première voiture « ZIS 101 » est présentée aux autorités de l’époque par son directeur Ivan Alekseyevich Lihachov, entouré des hommes forts de l’époque ;

 

-         GK Ordjenikidze (Ministre de la l'industrie lourde),

 

-         Staline (président de l’URSS),

 

-         Molotov (Ministre du commerce extérieur) et

 

-         Mikoyan (Ministre du commerce).

 

 

La « ZIS 101 » était destinée à transporter les hauts dignitaires du régime soviétique et disposait des caractéristiques suivantes :

 

-         moteur à essence de 8 cylindres en ligne de 5800 cm3, développant

 

-         90 ch DIN pour atteindre une vitesse maximale de 115 km/h.

 

 

 

La production continua autour de « ZIS 101 » ponctuée d’évolutions discrètes.

 

 

Une première évolution produite en 1941 portera le nom de « ZIS 101-A » proposera une augmentation de puissance de 90 à 110 ch DIN pour atteindre la vitesse maximale de 130 km/h. Il s’agira là plus d’une imitation des grosses limousines américaines des années 30 que d’une réelle innovation, ressemblant au Packard avec leurs boites de vitesses automatiques à 3 vitesses et leur convertisseur de couple.

 

 

 

-         En 1940, un prototype développé par l’ingénieur aéronautique JJ Dolmatovsky présente une version plus aérodynamique et propose de reprendre le concept des limousines TATRA, le constructeur Tchèque avec un moteur à l’arrière du véhicule accompagné d’un refroidissement à air.

 

-         Dès 1939, une version sport fut produite sous le nom de « ZIS 101-Sport ». Documents quasiment introuvables à l’heure actuelle. Les évolutions portèrent aussi sur le moteur dont la puissance atteignit 141 ch DIN. Ce qui autorisait une vitesse maximale de 162 km/h relevé pour une annonce officielle entre 170 et 180 km/h.

 

Cette voiture à deux places, conçu par l’ingénieur maison Valentin Nikolaevich Rostkov, a été réalisé en 1 ou 2 exemples et représente l’une des meilleurs automobiles de l’ère soviétique, bien qu’elle n’était pas très politiquement voiture de monsieur tout le monde. La seconde guerre mondiale stoppe la production suite aux intrusions de l’armée Allemande et aux douloureux efforts de guerre. L’usine et ses équipements sont démontés et transférés soit à Miass, soit dans l’usine UAZ, autre constructeur spécialisé dans les véhicules militaires, à Oulianovsk.

 

Les folles années

 

 

L’usine reprend en 1942 son activité sur sa principale production ; les camions et camionnettes. Il faudra attendre 1946 pour voir le redémarrage de la production de voitures avec la « ZIS 110 » qui est en fait un dérivé du modèle américain « Packard 180 » de 1938.

 

-         moteur 8 cylindres en V de 6 litres de cylindrés développement

 

-         140 ch DIN pour dépasser péniblement les 140 km/h.

 

Elle fut produite en carrosseries différentes de coupé, cabriolet et limousine bien sur jusqu’en 1958.

 

Afin de réduire les délais de conception et de mise en production, La société « ZIS » utilisa le principe simple de copier/coller toujours en vogue chez les constructeurs chinois d’aujourd’hui. Il fallait montrer au monde et en particulier aux américains la capacité de URSS à concevoir et produire des voitures hors normes.

 

 

Mais la société ZIS continua ses démonstrations adaptant à l’automobile, les recherches aérodynamiques de l’industrie aéronautique. En 1951, un prototype de véhicule, la « ZIS 112 » disposait d’un aérodynamisme très similaire à un avion. Ce qui a inspiré le constructeur American Buick pour son modèle « Le Sabre ». La démesure de ce concept de voiture avec ces 6 mètres de long, son moteur à essence de 8 cylindres en V de 6 litres de cylindrées à double carburateur dans un premier temps puis à quatre carburateurs, comme les Aston Martins V8 des années 1970, d’un radiateur pour l’huile et d’un allumage simple à régler avec le manuel fourni. Les résultats étaient au rendez-vous, Le moteur développait 182 ch DIN pour une vitesse de pointe de 204 km/h et un poids de 2450 kg.

Ce type de véhicule était unique conte tenu d’en URSS, aucun véhicule automobile n’était aussi long, et aucun ne pouvait dépasser les 200 km/h. Ce fut donc une grande prouesse technique, et politique aussi. La « ZIS 112 » fut donc un véhicule vitrine et fut modifié afin d’atteindre les 210 km/h en portant la puissance du moteur à 192 ch DIN. Des versions courses ont été réalisées malgré les 2,45 Tonnes du véhicule de bases. Le pouvoir de l’époque s’en servira de propagande malgré le fait que le notion de voiture de luxe était une hérésie dans la doctrine communiste. 

 

A la mort de Joseph Staline le contexte politique change amenant la doctrine d’homme de fer qu’était Staline à disparaitre. L’entreprise est à nouveau rebaptisée. Désormais, la société portera le nom Z.I.L , « Zavod IMENI Lihacheva » ou Plan Industriel de Lihacheva, Lihacheva étant le nom de celui qui fut pendant 22 ans, le chef d’orchestre de l’entreprise sous la tutelle de l’état soviétique, le directeur Ivan Alekseyevich Lihacheva.   

 

En 1959, après les premiers prototypes du milieu des années 50, la « ZIL 111 » voit le jour. Cette voiture est conçu l’ingénieur Anostrovtsovym. Le design extérieur est typiquement celui des modèles américains. Pour la partie mécanique, il ne faut pas croire au miracle, il s’agit comme les américaines d’un moteur 8 cylindres en V à lavant de la voiture de 6 litres de cylindrées et développant 200 ch DIN. Une boite de vitesses automatiques à 3 rapports, un seul arbre à cames. Ce modèle fut donc créer directement au Etats Units et non en URSS. L’intérieur était moins luxueux  que les modèles américains, mais plus fonctionnel. Les matériaux utilisés pour le garnissage de l’intérieur étaient soviétiques, moins de cuir, plus de tapisserie.

Des prototypes se succèdent afin d’améliorer l’image de l’URSS. Les prototypes de 1961 vont faire apparaître une nouvelle série de « ZIL 111 ». Elle sera aussi déclinée en limousine et cabriolet. La ressemblance avec les modèles « Cadillac » se fera plus accentuer en reprenant les longs capots arrière et les massifs avant. D’autres prototypes de minibus ont été réalisés en 1964 par l’ingénieur maison E. Molchanov, mais tout ceci reste des études politiques sans suite pour la production. La société ZIL se met à regarder les constructeurs européens de limousines et commence a reprendre les techniques et la design des automobiles modernes. La déferlante des compétitions automobiles de vitesses, d’endurances, ou de performances ne permet plus à l’URSS de briller dans l’automobile. L’évolution de la « ZIL 112/4 » de 1958 fut une première tournante. Elle reprenait typiquement l’arrière des « Cadillac » de l’époque des années 50/60. Le moteur avec ces quatre carburateurs et ces 1800 kg ne permettait pas de dépasser les 220/230 km/h. Une augmentation de la puissance à 220 ch DIN permis de gagner 20 km/h de plus. Mais tous ces efforts ne permirent pas à ZIL de devenir une marque sportive. Le luxe et le sport ne pouvais être concilier chez ZIL. 

 

 

La version « ZIL 112-Sport » des années 1960 à 1962, conçu par l’ingénieur V. F. Rodinov comportait ce que ZIL savait faire de mieux. Le moteur de la « ZIL 111 », un gros V8 de 6 litres avec ces quatre carburateurs K-85 et ces 240 ch DIN. La direction et les éléments de suspensions avant sont empruntés à la « GAZ M-21 Volga », quatre freins à tambours et sur l'essieu arrière, ils étaient montés à la sortie de l'écart d'engins. La suspension arrière est de type De Dion avec des leviers triangulaires. Les performances de la voiture étaient en accélération de 0-100 km/h de 9,0 secondes, une vitesse maximale de 260 km/h pour un poids total est 1330 kg. En 1965, l’évolution portait sur des freins à disque et le moteur grâce à 270 ch DIN. Cette version fut même baptisé la Ferrari Russe en hommage à la «Ferrari Testarossa ». Le design des deux voitures était très proche.

 

Le déclin

 

 

A la demande des autorités soviétiques, les nouveaux modèles des années 60 devait être plus fonctionnelles donc plus carrés, plus sobres et plus efficaces. ZIL devait dire adieu au sport automobile pour revenir au sérieux des limousines de luxes. Entre 1967 et 1971, trois nouveaux modèles (selon la carrosserie et le nombre de places) seront lancées. Il s’agit des « ZIL 114 », puis « ZIL 115 » et enfin « ZIL 117 ». Pour se faire, ces nouvelles voitures limousines disposeront toujours d’un gros moteur, 8 cylindres en V dont la cylindrée passera à 7 litres. La puissance du moteur atteindra cette fois-ci les 300 ch DIN. Ces modèles seront rejoint par un minibus la « ZIL 119 ». Tous ces modèles sont sobres mais efficace et cela amorcera le déclin de la marque. Leurs productions s’arrêtèrent en 1985. Ces véhicules ne marqueront pas le monde de l’automobile soviétiques, car ils étaient trop strict et sans évolution techniques ou technologiques majeures. 

 

Dans les années 80, les décisions politiques envers la société ZIL se font plus pragmatiques et moins utopiques que par le passé. Une nouvelle variante est donc lancée représentant le véhicule simple et monstrueux. Ce sera la « ZIL 4104 ».

Sur cette version, le moteur évolue avec une augmentation de cylindrée à 7,7 litres pour une puissance de 300 ch DIN. La finalité est d’augmenté le couple moteur afin de pouvoir tracté les 4 tonnes des limousines blindées à plus de 200 km/h. La version berline à 5 places sera baptisé « ZIL 40141 » et la version limousine à 7 places sera baptisée « ZIL 41047 ».   

 

Des versions spéciales sont ainsi réalisées sur commandes des autorités de l’URSS, comme une version Corbillard et un joli cabriolet. Ceci afin de faire des défilés plus marquant. Ces variantes accueillaient le dernier président de l’URSS : Mikhail Gorbaciov. Elle accueillait aussi le premier président de la Russie : Boris Yeltsin.

Un léger restilling a eu lieu sur la face avant et arrière depuis son lancement. Cette dernière version de la « ZIL 4104 » dispose d’un moteur atteignant les 315 ch DIN. La version limousine doit se conduire avec un permis camion, car elle pèse quand même 4,5 Tonnes. En 1988, une évolution plus significative était en préparation, Les prototypes « ZIL 4102 » étaient des berlines tractées et non propulsées comme jusqu’ici avec des faces avant et arrière plus modernes malgré le design extérieur très carré. Faute de financement, ce projet resta dans les cartons. 

 

La fin de l’URSS et la renaissance de la Russie ont mis un terme à la politique de l’état dans les affaires de l’entreprise. Sa transformation fut donc simple, ce n’est plus l’état les actionnaires, mais les richissimes membres des bureaux politiques.

 

Le présent

 

 

Il nous reste encore aujourd’hui que des véhicules d’un autres temps dont l’intérieur comme l’extérieur ne fleurent pas l’écologie, l’économie ou la rationalisation. Ces caractéristiques n’ont guerre évoluées depuis les années 1990. Vous pouvez choisir entre la version courte à 5 places ou « ZIL 41041 » de 5,75 mètres de long, de 3,2 Tonnes à vide pour 190 km/h maximum et la version limousine de 7 places ou « ZIL 41047 » de 6,33 mètres de long, de 3,55 Tonnes pour un peu moins de 190 km/h maximaum.

 

Aujourd’hui, la fabrication de cette voiture se fait sur commande. Son prix est de l’ordre de 300 000 à 350 000 euros mais tout dépend des équipements et de la longueur que vous désirez. La calandre diffère des années 90 permet de savoir qu’il s’agit d’une version moderne. Le moteur a toujours ces 4 carburateurs et sa boite de vitesses automatiques.

L’avenir

 

 

En hommage à son passé dans sa globalité, l’entreprise est à nouveau baptisée et porte dorénavant le nom de : AMO ZIL et continu à produire des camions et camionnettes (99,99 % de sa production). Cependant, elle continue à espérer en ces projets internes de grandes limousines Russes comme le montre les dessins ci-dessous. Seulement, les dirigeants actuels de l’entreprises ne savent pas comment trouver les fonds nécessaires pour concevoir une telle limousine moderne ni à qui la vendre. Il existe déjà temps de concurrents qui font d’excellentes limousines qu’il est impossible de trouver un débouché pour de telles voitures. Mais un jour peut être ……………………….

La majeure partie de la population Russe pouvant prétendre à l’achat d’un ZIL se tournent vers les marques européennes occidentales. Certains prototypes existent déjà. Il ne manque plus qu’une trésorerie suffisante et une clientèle au rendez-vous.....

 

 

 

Il pourrait s’agir de la « ZIL 4112 ». Elle reprendrait les caractéristiques techniques du modèle actuelle mais avec des normes anti pollution de types Euro4 ou Euro5, de l’injection directe sans turbocompresseur à 400 ch DIN et avec turbocompresseur pour 800 ch DIN. On parle même de l’utilisation d’aluminium au lieu de fer ce qui permettrait de gagner plus de 600 kg sur la version de base et de plus de 750 kg sur la limousine. La version blindée devrait avoisinée le poids de 5,5 tonnes. Les carrosseries seraient une limousine présidentielle, le cabriolet de parade ou laudernet et la berline diplomatique. L'usine a prévu de produire 6 à 12 voitures par ans et la facture devrait avoisiner les 400 000 à 500 000 euros.

 

 

Les designers continuent en interne à multiplier les projets de développements. Les sociétés extérieures aimeraient aussi participer, mais tout ceci reste des vastes projets sans lendemain. La marque à marquer les esprits au-delà du symbole de la couleur noir (terreur du pouvoir politique soviétique), ou des personnes transportés (hautes dignitaires et autres hauts fonctionnaires). Cette marque garde de profond amateur de belle voiture.

Retrouver toutes les informations sur ces voitures sur le site officiel du constructeur Russe

 

http://www.amo-zil.ru

 

Nouvelle voiture : Top départ

Depuis plus de dix années, je construisais des parties de véhicules pour le compte de constructeurs automobiles. Mais maintenant, j’ai suffisamment appris et je me lance dans la construction de mon propre véhicule protonique. A l’instar des sous marins et autres bâtiment de guerre à l’énergie nucléaire, j’ai choisis des énergies moins dangereuses mais plus efficace en terme de rapport poids/puissances.

 

Point de départ de ce véhicule est donc le châssis. Pour se faire, j’ai retenu une structure simple et éprouvée depuis plus de cinquante ans. J’ai donc pris un châssis poutre (comme ce qui équipe les autres LOTUS et autres véhicules de compétitions). Pour mon premier châssis, j’ai donc pris une poutre rigide en aluminium en structure type nid d’abeilles et en renforcement en fibre de verre. Ce châssis existera en deux formats qui porteront les codes HTX1C et HTX1L.

 

Pour compléter le tout, j’ai donc complété les extrémités de la poutre super rigide par des berceaux avant et arrière en acier à absorption de chocs. De cette façon, et si mes calculs sont exacts, en cas de chocs à 70km/h sur l’avant ou l’arrière, les berceaux absorberont l’énergie cinétique et la poutre elle ne se déformera pas. Ceci devrait éviter l’écrasement comme ces le cas avec une voiture coincé entre deux camions.

 

Le berceau avant comportera les infrastructures de refroidissement (radiateur, groupe clim), la centrale de pilotage de l’éclairage avant (diodes), le correcteur d’assiette, la colonne de direction, le freinage assisté (ABS, ESP, EHB, etc..) et la suspension assistée (Hydractive), mais aussi un réservoir que j’espère sauf erreur de calculs d’une contenance de 80 litres de carburants environ. Le berceau servira de support au train avant

 

Le berceau arrière comportera les infrastructures du moteur, des boîtes de vitesses, des accessoires moteurs (alternateur, compresseur de clim, batterie) ainsi que la transmission, les systèmes d’échappements (traitement, dépollution, filtre et silencieux). Le berceau servira de support au train arrière avec les roues motrices.

 

Banquier, c'est le moment de payer votre argent VIRTUEL

En cette année de crise épouvantable pour les systèmes bancaires assoiffés d’argents (de préférance virtuel) au point de faire de tout et de n’importe quoi (assurance, agence immobilière, administrateur de sociétés, gestion de portefeuilles d’origines plus que douteuses, etc.), ils n’en ont oubliés l’essentielle, le crédit et la gestion de compte courant. PAUVRE CLIENT.

 

Du coup, quand je vais voir une banque, je ne pense pas aller voir (comme ils clament HAUT et FORT dans leurs publicités) un PARTENAIRE ou un financier, mais une société de service dont les tarifs sont devenus terriblement prohibitifs (coût de services, cartes de crédits, taux d'emprunt, dossier bancaire, etc.).

 

Une banque vous annonce vouloir vous fournir un service, en faite il essaye de savoir comment gagner sur votre dos le double ou plus sur votre dos. Ils gagnent de l’argent sur vous et n’hésiterons pas à vous lâcher s’ils estiment que vous ne leurs rapporter pas assez.

 

Je suis même resté très interloqué quand lorsque je discutais au cours d’une de ces soirées mondaines entre financiers et chefs d’entreprises sur le faite qu’une banque ne prête plus à une entreprise sauf si l’entreprise dispose d’un patrimoine moins 1 fois à 1,5 fois égale au montant du crédit demandé ou bien si l’emprunteur dispose d’une capacité de remboursement (taux d’endettement calculé égale à 40%), soit environ le double des mensualités prévues. Ah ! Les banques s’affichent plus que jamais comme une société de services dont l’unique but est son propre enrichissement. Le client me dirait vous, elles n’en tiennent pas compte. Le paraître et les chiffres ne sont que les seuls intérêts. En résumé, les banques ne prêtent qu’aux riches et aux sociétés sans risques. Si vous n'êtes pas la dedans, vous n'êtes , vous n'êtes .... RIEN.

 

Nombre de sociétés en difficultés voir déjà liquidées le seront ou l’on été parce que leurs partenaires ne pouvaient pas avoir un rendement de 7 à 9 % par an. Curieux en temps de crises que les banquiers continuent à vouloirs garder des rendements datant d’une époque morte en 2008.

 

Aussi curieux que cela puisse paraître, quand une personne vole ou braque, elle est poursuivit. Quand une société effectue des mauvais placements, elle est condamnée à rembourser, mais là, pour les banques comme les établissements financiers, ils se sont pardonnés mutuellement. Et ce pardon est tel que ni les politiques, ni les justices des pays ne peuvent les poursuivre alors qu'ils ont accumulés et créer de l’argent virtuel, ce qui selon le codes pénales de beaucoup de pays associés à une escroquerie en bandes organisées et des faux et usages de faux (même pas de billets, car ils n'esistent pas de billet). Les traideurs achètent sans argent des titres et les revendent alors qu'ils n'ont pas d'argent. Si moi, je fais cela, je vais directement à la case PRISON.

 

Etonnant  non ! comme disant Monsieur Cyclopède. 

 

Courage, il ne reste plus qu’à concevoir une nouvelle banque plus fonctionnelle et donc plus rationnelle, qui serait moins utopique et surtout moins gloutonne en profits. A quand une association à but non lucratif qui serait une banque.     

 

Passion de déraison

Expressive ! N'est-il pas ? Ouah !!!!!!!!!!!!! De côté, quel charme Détails de l'interface Un ange passe

Expressive ! N'est-il pas ?
Expressive ! N'est-il pas ? 

Bien souvent, la passion tourne à l’obsession, voire la déraison. Il est vrai que certaines passions comme pour un sports, une œuvre d’art, un bâtiment ou une automobile fait tourner bien des têtes.

 

Moins connus que les frimeuses FERARRI, moins coûteuse que les BUGATTI, mois grosses que les ROLLS ROYCES ou autres BENTLEY, les ASTON MARTIN sont le vrais esprit des GT. Un savoureux mélange de sports et de luxe avec une note d’artiste comme on ne fait plus. Un plaisirs des yeux, du toucher et une certaines sensualités, un regards, Brefs, vous l’avez compris, un objets passionnels peut se décrire comme une jolie femme.

 

C’est vrais qu’elles sont belles ces voitures. Admirer, elles vous plairont surement.

 

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