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Stéphane BONAVENT

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Les passions nous permettent de vivre dans l'espoir d'une vivre de rêve. En fait, les passions sont le moteurs de la vie

Les passions nous permettent de vivre dans l'espoir d'une vivre de rêve. En fait, les passions sont le moteurs de la vie quotidienne et elles nous permettent de passer le temps dans la joie et le rêve.

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Stéphane BONAVENT

CITROEN C6 (Un job passionnant et passionné)

smoking de cérémonie Plaisir : Oh oui, mais gare aux factures Sobre et dépouillé (a quel prix) confort, un sallon simple Publicité pour rêver sans compter

smoking de cérémonie
smoking de cérémonie 

Quel souvenir ! Ce fut une expérience plus émotionnelle et passionnante que celle de la CITROEN C5 ou de la PEUGEOT 407. Lorsque j’ai participé pendant plus de 3 ans au développement de cette CITROEN C6, j’ai pris un énorme plaisir à voir cette voiture partir de rien et arriver à quelques choses. Une voiture dont le style m’avait fortement déçu lorsque je l’ai vu la première fois. Je trouvait l'ensemble lourd et peu en édéquation avec la production actuelle. Un style térriblement osé pour un constructeur généraliste. 

 

Mais, tout le long de son développement, je m’y suis fait à cette auto. Contrasté hier comme aujourd’hui par les incroyables possibilités de créativité, d’imagination et d’audace de ces concepteurs. Quand je pense que pour des économies de 4 sous, ces chers COSTS-KILLERS (tueurs de coups) ont presque divisé par deux les équipements sans vraiment en réduire les prix. En effet, des équipements comme la RVA (ACC en anglais, ou régulateur de vitesse auto-adaptée à la distance du véhicule précédant), une caméra arrière de recul, l’accueil du conducteur et des passagers, la vision tête haute en couleur avec toutes les infos du combiné, Les vitres latérales et arrières à opacités réglables électriquement, la malle arrière pilotée électriquement en ouverture et fermeture, la mémorisation de tous les sièges (avant comme arrière) ainsi que de la colonne à réglage électrique, les sièges ventilés et massants, la climatisation quadri-zones, etc.

 

Eh bien, cette voiture a perdu une grande partie de tout cela et le prix commercial n’a pas tellement changé par rapport aux prévisions de départ. En fait, cette voiture aurait du disposer de d’avantage d’équipements pour les prix que nous connaissons aujourd’hui. Succès ou échec, La clientèle le dira. Cependant, tout est réunit pour que cette voiture fasse comme la défunte XM un échec commercial. Les prix sont très élevés, le véhicule est moyennement équipé par rapport à la concurrence, et pour des caractéristiques générales moyennes. Il faut noter que cette CITROEN C6 dispose de 2 moteurs V6 (qui représente en générale un faible volume de vente). L’arrivée de moteurs 4 cylindres Diesel et peut-être essence ne permettra pas au actuel propriétaire de 605/607, XM ou de SAFRANE/VEL SATIS de changer pour cette voiture très chers. Du plus, pour les flottes d’entreprises, le prix de départs est beaucoup trop élevé. Peu d’entreprise investiront dans une telle auto.

 

Ce qui est surprenant et contradictoire sauf pour PSA, c’est au fur et à mesure que le projet CITROEN C6 avançait, les équipements diminuaient et les plastiques et autres garnitures s’amélioraient. Eh oui, à chaque passage devant les responsables, la qualité perçue des pièces visibles étaient critiquées pour le niveau bas de gamme. L’intérieur a finit par considérablement s’améliorer au cours de l’année 2005. Et surtout, quel plaisir de conduire cette voiture si lourde dans son comportement. Des moteurs insuffisants pour tous ceux (et ils sont de plus en plus nombreux) qui aiment la puissance et la performance sans rechercher forcément la vitesse pure. Il est clair que la C6 aurait mérité un V8 Bi-turbo diesel et un V10 essence pour vraiment concurrencer les allemandes.

 

Des économies de bas de laines ont permis de mettre sur pieds cette automobile qui va vite rentrer dans un musée au côté de la XM. A force de faire des économies, il n’y aura bientôt plus qu’une seule voiture dont la longueur et la largeur seront à la demande. Le design sera le même. La CITROEN C6 est donc un savant mélange de C4/C5 restylisée et de PEUGEOT 407. Chez PSA on part de petit modèle pour fabriquer des grosses voitures. C’est très économique, mais les modèles de luxe dispose des mêmes équipements (mêmes façades, mêmes systèmes) que les petites. Alors, comment convaincre les futurs acheteurs que les hauts de gamme sont en faite des bas de gammes améliorés. BMW fait le contraire, il développe sa plus grosse voiture (série 7), puis coupe, tranche, retire en longueur, en largeur pour décliner les modèles inférieur (série 6, 5, 3 et 1).

 

LAGONDA, une voiture image de marque

Limousine exceptionnelle Ralongée à souhait Intérieur inédit Unique limousine à phares excamotables Design novateur pour l'époque

Limousine exceptionnelle
Limousine exceptionnelle 

La marque LAGONDA est de plus en plus oublié par les amateurs d'ASTON MARTIN. Pourtant, cette marque fabriqua jusqu'en 1992, un véhicule hors normes. La prix, les dimensions, le poids, le design extérieur et intérieur novateur comme une oeuvre d'art.

Passionné par ce véhicule depuis je que l'ai découvert, il fut produit à moins de 700 exemplaires entre 1977 et 1992. J'adore cette voiture propulsée par son V8 de 5,3 litres directement issus des coupés/cabriolet V8 d'ASTON MARTIN. Une simple Boite de vitesse automatique à 3 rapports font de ce véhicule un pur véhicule de loisir.

Ces véhicules fabriqués dans les ateliers de NEWPORT PAGNELL en Angleterre, chaque véhicule fut construit entièrement à la mains (chassis, carrosserie, sellerie, moteur, etc.). Il n'y a pas de doute, il s'agissait et encore aujourd'hui, d'une véritable oeuvre d'art.

 Depuis, cette volumineuse et voyante voiture dont la consommation est gargantuesque offre une image de prestige et de fin connaisseur. Les frimeurs et autres m'as-tu vu ne connaissent même pas cette auto.

 

 

Ma vie, Mon oeuvre passée et présente

Une voiture pas comme les autres Passé oui, mais aller vers l'avenir Passion, amour des belles voitures Un expert et son oeuvre L'avenir vers des autos passions

Une voiture pas comme les autres
Une voiture pas comme les autres 

Né en 1970, le 21 mars à 12h55, je me suis montré créatif, imaginatif et passionner très vite pour la mécanique. Tout le long de ma petite enfance, j’ai développé mes talents de créateurs à l’aide de jouets comme lego ou mécano. Très vite, mes principaux jouets ont été des voitures, camions, avions, hélicoptères et autres tracteurs.

Puis, c’est en 1982, que le premier bouleversement est apparu. Le 30 avril 1982 décéda mon père Gérard Jacques René BONAVENT suite à un cancer. C’est cette même année que je suis pris de passion pour cette étrange voiture : La DE LOREAN DMC 12. C’est bien plus tard qu’elle fut immortalisé par la trilogie des  RETOUR VERS LE FUTUR Cette année fut cruel pour l’enfant de 12 ans que j’étais. Il aura fallut 14 mois pour que je retrouve cet esprit de conquête qui m’habite aujourd’hui.

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 C’est aussi à partir de là que j’ai multiplié par l’entrainement, le travail, mes différents talents d’autodidacte (du fait de l’absence paternelle et ceux malgré la présence maternelle), une certaine sagesse sur la mort, une maturité sur les événements et à prendre du recul.

 

 

 

Le développement de mes capacités intellectuelles s’est alors accéléré, concentration, imagination, analyses et esprit de synthèse. J’ai aussi commencé à créer : une bande dessinée sur les voitures, des dessins de voitures existantes ou futuristes, j’ai imaginé les voitures plaisirs comme les SUV, les gros 4X4 telles que je les pensais. Apprentissage de la vie, du travail et des loisirs par le travail, donc la passion.


Vers le milieu des années 80, les premières réalisations techniques sont apparues, les premiers montages (étagères, renfort de bureau, bricolage en tout genre). Ma première installation de système embarqué fut une poubelle fixé sur un support et détachable pour la vider simplement à bord de la RENAULT 16 familiale. Puis, se fut un lecteur de carte intégré au pavillon.

En 1986, j’ai découvert lors de mon premier salon automobile de Paris, les marques ASTON MARTIN et LAGONDA. Je me suis passionné pour ces marques en suivant chaque année, leurs nouveaux modèles.

En 1988 après le passage du permis, j’ai imaginé un premier concept retravaillé en 1995/1996 avant d’être terminé en 2002, le DISTANCEMETRE. Cet appareil avec électronique embarqué permettait d’informer par un signal lumineux (3 diodes rouge, jaune et verte) la distance de sécurité avec le véhicule qui précède ou qui suit. J’ai vraiment acquis cette technique à base de technologie radar/infra rouge qu’au début des années 2000.

En 1990, c’est le concept de la malle de coffre habillée de moquette afin de réduire les bruits de roulage et surtout de jouer le rôle de bouclier thermique.

En 1992, j’ai imaginé ma première alarme automobile (alors en deuxième année de BTS électronique) qui réagissait aux données corporelles. Le manque d’informations et de technologie ne m’ont pas permis d’aller plus loin.

 

 

 

En 1996, après mon diplôme d’ingénieur en poche et comme chef d’entreprise, je désire de plus en plus me rapprocher de l’industrie de l’automobile. Je commence dès fin 1996 une reconversion vers les métiers de l’automobile.


C’est ainsi qu’en septembre 1997, après avoir mis un terme à mes fonctions de gérant de sociétés, je me suis tourné vers l’industrie de l’électronique pour venir vers le monde de l’automobile que j’ai intégré dès mars 1998.

Depuis 1998, je suis passé du rôle d’ingénieur à expert reconnu par les constructeurs automobiles français, j’ai donc participé à la création des modèles CITROEN C5 et C6 ainsi que la PEUGEOT 407. Pendant plus de 7ans, j’ai travaillé sur les architectures électriques électroniques, comme développeur et metteur au point de calculateurs embarqués sous capot moteur et dans l’habitacle dans le cadre de ces 3 projets véhicules.

 

 

 

Mes activités se bornaient aux développements et mise aux points des calculateurs embarquées dont je devais garantir leurs bons fonctionnements sur ces véhicules. D’expériences en laboratoires sur des tables d’intégrations comme sur des véhicules, de passager à conducteur, j’ai passé beaucoup d’années à apprendre le fonctionnement d’un projet véhicule et l’industrie automobile moderne, analyser les véhicules de la concurrence, synthétiser le savoir, former les équipes et piloter les équipes.

Depuis le début des années 2000, je continue à travailler pour progresser, apprendre de plus en plus en marge de mon travail de consultant. Construire, diriger et commercialiser un projet véhicule. Tourner résolument vers l’avenir depuis plusieurs années, je continue à lire, apprendre, consulter et accumuler des informations sur l’industrie automobile. Accumulant le savoir faire, les techniques et les technologies.

 

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